• Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Bandurrita

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Tordo Musico

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Zorzal Chiguanco

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Calandria Grande

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Cardinal

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Tijereta

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Renegrido

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Chinchero Grande

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Picho de Ratona

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Carpintero Real

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Jeune femelle condor

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Toujours Madame Condor

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Lagarto

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Mariposa

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Drôle de guêpe avec un trou entre l'abdomen et le thorax

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Non, ce n'est pas une balle de golf. Ce sont des oeufs.

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Saltamonte (rasta sauterelle)

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Ne laisse pas tomber ta feuille

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Rana

    Des bouts de nature, d'ici, de là...

    Serpiente Yarara (entre 1m et 1,5m)


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  • Et oui, ce blog est sans frontière...

    Alors, nous vous proposons une petite recette qui fera aimer les aubergines à tout le monde.

    Recette des Aubergines façon "Condor"

    Pour un kilo d'aubergines.

    Couper les aubergines en rondelles.

    Dans une passoire, mettre une couche d'aubergines, puis salé. Renouveler l'opération et s'arrêter quand il n'y a plus d'aubergine, ou si ça déborde... 

    Laisser le temps (1h) faire son boulot.

    Ensuite, mettre dans une casserole un petit verre d'eau, un petit verre d'huile et un petit verre de vinaigre ainsi que les aubergines que vous aurez égoutté. Mettre le tout à feux doux entre 5 et 10 min. Veiller à garder les rondelles d'aubergines assez fermes (on ne fait pas une purée). 

    Préparer un mélange d'épices à votre convenance (laurier, thym, persil, origan, basilic, coriandre, etc...)

    Prendre un bocal, y mettre un peu d'huile dans le fond. Puis mettre une couche de rondelles, un peu d'herbes. A la dernière couche, ajouter de l'ail et recouvrir d'huile. D'accord, ça baigne un peu dans l'huile, mais c'est carrément bon. Et vous pouvez utiliser l'huile pour vos futurs assaisonnements de salade...

    Bon appétit !


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  • C'est en se déplaçant dans le pays que l'on se rend compte de sa taille exceptionnelle. Notre premier trajet, entre Buenos Aires et Villa Larca s'est fait de nuit. Aujourd'hui, pour rejoindre San Martin de Los Andes, nous traversons une partie du pays de jour. Les routes sont rectilignes sur des kilomètres et paraissent interminables.

    Heureusement que les cars Argentins sont à l'image des avions, en ce sens qu'en fonction du temps de parcours, on nous offre un goûter, un repas ou un petit déjeuner. Tout ça dans des fauteuils hyper confortables, dans lesquels on peut correctement s'allonger et s'endormir devant un petit film.

    Les rencontres avec d'autres passagers font également passer le temps, mais surtout rendent le trajet plus agréable.

    Les kilomètres sont aussi rythmés par des contrôles et des péages aux frontières des provinces, des départements, ou autres. Un agent monte dans le bus, nous salue, jette un œil rapide et nous laisse repartir. Visiblement rien de bien méchant, mais étonnant de ne pas circuler librement à l’intérieur d'un même pays. Plus tard, on en déduira que la police est présente notamment pour vérifier les entrées et sorties de nourriture dans chaque province. Dans celle de Mendoza par exemple, il est interdit d'importer des fruits secs, pourquoi ? Nous ne le saurons sans doute jamais... 

    Lors du premier trajet, Aurélien avait oublié de prendre un pull pour la route, car nous quittions Buenos Aires sous la chaleur. Il a eu beaucoup de mal à dormir, il faisait frais en cabine. Mais Justine était là pour partager sa chaleur, et son gilet. Alors pour les voyages suivants, il se jure de prendre toujours une petite polaire.

    Aujourd'hui, l'épaisseur ne sera pas utile. Le car reliant San Luis à San Rafaël est en panne de climatisation. Les chauffeurs nous l'annoncent à la montée, mais n'étant pas spécialement pros air conditionné, on se décide quand même à monter. On reste 3 minutes dans le car, lorsque tout le monde redescend. Il fait vraiment très chaud. Les gens protestent un peu (les Argentin(e)s sont assez calmes), mais les chauffeurs nous rassurent en nous disant que lorsque le véhicule roule, un peu d'air circule. On remonte donc, et puis, avons nous vraiment le choix ? Le prochain départ est dans 24h !!!

    Le bus finit par quitter le terminal de San Luis. On sent à peine l'air, le bus est normalement toujours climatisé, donc les fenêtres sont condamnées. Le chauffeur ouvre la porte latérale pour amener un peu d'air. Trop peu et trop dangereux à haute vitesse. Alors à peine sorti de la ville, le véhicule stoppe sur le coté. Le chauffeur nous demande de descendre de manière à ce qu'il puisse faire sauter les vasistas, à l'aide d'un pied de biche s'il vous plaît ! Et puis il coince la porte avec le manche d'un balais de manière qu'elle soit ouverte pour laisser passer l'air, mais pas trop pour ne pas qu'elle s'arrache.

    Nous voilà repartis, prêts à dévorer des kilomètres de lignes droites, avec certes, un peu plus d'air, mais il fait quand même super chaud dans ce bus. Le chauffeur pense néanmoins à passer entre les rangs avec une bouteille de soda puis de l'eau, ce n'est pas la grande classe mais il fait attention à nous ! Il ne faudrait pas qu'il y ait un mort avant la fin du voyage, qui va tout-de même durer 4h...

    Enfin, le soleil ne devrait pas tarder à se coucher...


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