Il y a un an, Didier Tronchet, célèbre auteur de bandes dessinées, publiait dans la revue "XXI", un petit chef d'oeuvre sur sa rue de Quito.

Imprégné de l'humour noir équatorien, ce petit bijou de dessin et d'écriture nous a donné envie, après l'avoir lu de visiter cette unique rue de Quito qui relie la ville au bas de la Vallée, vers l'Oriente.

Le chemin d'Orellana, tel est son nom, n'est pas vraiment en pente douce. 

Il est donc beaucoup plus facile de descendre que de remonter!

Comme le dit si bien Monsieur Tronchet,

le rue se tortille doucettement sur elle-même,

pas évident pour les voitures de slalomer parmi  les nombreux virages!

Un peu bohème et non sans charme,

le chemin nous mène progressivement vers les profondeurs de l'Oriente.

Pour éviter que les murs ne s'écroulent, on n'hésite à mettre des contreforts qui parfois fonctionnent et parfois non! (cf la BD).

Une autre caractéristique importante de cette rue concerne les avions 

qui passent tous les jours au ras des immeubles dominant la vallée.

Il est déjà arrivé que certains passent trop près et se crashent dans l'une des tours. Depuis, il a été décidé de refaire un nouvel aéroport, un peu plus loin du centre-ville!

Nous finissons notre petit tour en mangeant un almuerzo dans ce petit restaurant de quartier.

Pour les plus curieux, il est possible de se renseigner sur la bande dessinée sur ces deux sites internet...

Ici pour écouter une interview de Didier Tronchet et là pour commander le livre.