Quelques part, au beau milieu du désert,

Poussent de drôles de plantes

Les pieds dans le sel,

Et la tête dans le ciel,

Elles saluent les volcans de la cordillère des Andes...

Laguna Cejar a un taux en sel 3 fois plus élevé que la mer

Alors autant vous dire, qu'on en profite,

Pour contempler le reflet de la Cordillère sur la laguna,

Mais, casse toi, tu gâches la vue!!!

Regardez comme c'est facile de flotter (avec tant de sel dans l'eau)

Mais il faut vite enlever le sel qu'on a sur la peau...

On rentrera de ce joli endroit

A l'arrière d'un pick-up! (c'est moins cher et la vue est jolie)

Ce soir, c'est l'anniversaire de Franck (alias Franchute), alors on sort les verres pour prendre l'apéro

on allume le feu pour l'asado

et on s'active aux fourneaux pour préparer un beau gâteau!

A gauche, Brigitte et Miguel, les propriétaires du gîte, santé!

Miguel qui médite le lendemain matin

Pour mieux jouer lors des soirées

Au menu, rougail zoeufs (plat réunionnais) qui s'est invité au Chili (vive notre mondialisation)

Ici, la musique ne réveil toujours pas les morts...

Les excursions coûtent chères alors on préfère choisir un moyen plus éconologique

Toujours accompagnés par des français(e)s forts sympathiques, on enfourche nos bicyclettes

Pour avaler les quelques kilomètres qui nous séparent de la Quebrada del Diablo.

Quelques surprises nous attendent sur le chemin, les pluies très fortes ont recréé un "rio"

Certain(e)s préfèrent le traverser à pied

Tandis que d'autres font confiance à leur monture et n'hésitent pas à rester dessus !

Mais les efforts sont vite récompensés, une fois de plus des paysages incroyables et enfin un peu de végétation !

Le fin de journée approche. Rentrons vite à la maison pour l'apéro (voir l'article "casa de los musicos")!

Quelques jours plus tard, nous repartons cette fois tous les deux

Dans la valle de la muerte (vallée de la mort pour ceux qui ne parlent pas le castillan:-))

On commence à monter en vélo mais on finit... à pied ! Trop de sable, notre monture ne suit plus.

On redescend par les dunes et sur les fesses, la pente était plus impressionnante que prévu !

Dernière étape à bicyclette : le tunnel

Deux amis nous accompagnent, eux avec leurs 4 pattes et nous avec notre deux roues

On n'y voit pas grand chose là-dedans, hou hou y'a quelqu'un ?

On est quand même bien content d'en sortir, surtout avec cette vue !

Allez, on rentre il fait trop chaud ici, pas vrai madame Leblanc ? (à droite sur la photo...)

Petit PS: Madame Leblanc, veuillez nous excuser de vous avoir abandonné au milieu de la route à San Pedro de Atacama mais vraiment nous ne pouvions pas vous emmener. Et Aurèl surtout la prochaine fois rappelle-moi de NE PAS DONNER A MANGER AUX CHIENS ERRANTS...